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Un projet durable et économe en ressources
Les choix d’aménagement de la ZAC Campus Grand Parc répondront aux principes de l’éco-quartier : développement des transports et circulations douces, verdissement, réduction des besoins en énergie (éco-construction et normes Bâtiments Basse Consommation, géothermie…) et mixité des fonctions sociales. L’intensité urbaine sur le secteur Campus Grand Parc vise à rapprocher emplois et habitat, à lutter contre la périurbanisation à l’échelle régionale, à économiser par conséquent la ressource foncière. La proximité entre fonctions doit permettre de raccourcir les distances de déplacements et par conséquent le recours aux énergies carbonées directement associées au changement climatique global.
Un quartier verdoyant et largement planté
La place du végétal sera fortement renforcée sur le secteur. Le végétal occupera une place importante dans la conception de la trame des espaces publics. Ainsi, sont notamment prévus la restructuration du parc des Hautes-Bruyères (20 hectares environ), l’accompagnement des grands axes qui irriguent le quartier avec la plantations de 800 nouveaux arbres, la création de plus de 2 hectares d’espaces verts publics dont 1 hectare de noues et fosses servant une gestion alternative et écologique des eaux de pluie via un traitement à la source.

La participation de l’espace privé à la trame verte est aussi au cœur des réflexion avec une large place laissée aux jardins, l’imposition de création de toitures végétalisées, ou la plantation d’ arbres « monuments » au sein des parcelles privées. Ces arbres majestueux, visibles depuis l’espace public participeront à la perception végétale du futur quartier.
Relier tous les bâtiments au réseau de géothermie local
Déployé par la SEMHACH, société publique locale de l’énergie, un réseau de géothermie subviendra aux besoins de chaleur et d’eau chaude de l’ensemble des bâtiments du quartier.

La géothermie consiste à puiser l’eau géothermale située sous terre, en grande profondeur, en extraire la chaleur, et la réinjecter dans sa nappe d’origine, afin qu’elle se réchauffe à nouveau.

Comparée aux énergies fossiles habituellement employées, cette source d’énergie est propre, locale, renouvelable et économiquement avantageuse pour les futurs usagers.
Des chantiers propres et intelligents
Environ 10 années de travaux seront nécessaires pour faire sortir de terre ce nouveau quartier de ville.

Afin de limiter les gènes et nuisances liées aux chantiers, une charte de chantier vert sera signée avec chaque entreprise et chaque promoteur intervenant sur le quartier. Cette charte encadrera les chantiers (bruits, détritus…) et fixera un montant de pénalités en cas de non respect des engagements.

L’aménageur encourage par ailleurs tous les intervenants à avoir une approche globale et économe en ressource sur l’ensemble des chantiers dans le but de limiter les nuisances et de réduire les consommations de matières non recyclables.

Ainsi dans le cadre du premier chantier actuellement en cours, les terres excavées ont été réutilisées au sein d’un autre projet situé à proximité au lieu d’être envoyées en décharge aux confins de l’Ile-de-France.
Collecter les déchets de manière optimale
Conformément à la politique menée par l’Etablissement Public Territorial GrandOrly Seine Bièvre, les bacs de poubelles classiques laisseront place à des points d’apport volontaires enterrés.

Ce système de collecte permettra de limiter les rotations de camions poubelle et aura ainsi pour conséquence de réduire la pollution générée et de rationnaliser économiquement le ramassage.